Des feux follets bleus, verts, livides, rouges, se mirent à danser sur le toit et à courir d’un pignon à l’autre. Il y en eut même qui vinrent effleurer la figure du pauvre ivrogne au point qu’ils lui roussirent un peu la chevelure et la barbe.

Enfin, pour combler la mesure, une espèce de grand chien à poil roux, haut de trois pieds au moins, rôdait au milieu des arbres, s’arrêtant parfois et dardant sur le meunier deux gros yeux qui brillaient comme des charbons enflammés.

Une histoire de loup-garou, Wenceslas-Eugène Dick